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"A Corps et à Flow"
(Exemple de projet culturel de territoire) Ce projet né en 2015 sous l’impulsion de la Mairie de Blagnac, du Conservatoire de danse de Blagnac et de la compagnie.
La volonté de ces trois partenaires était de proposer un projet innovant sur la thématique de l’adolescence et d'aboutir après la collecte de témoignages sur la thématique abordée, à une création participative mêlant théâtre et danse. Fort de son succés, "À Corps et à Flow" fut reconduit les 2 saisons suivantes toujours sous la conduite de Lou Broquin, metteure en scène et de Stéphanie Bouillaud-Bonnetot, chorégraphe. > Saison 2015-2016 : Thématique de "L'adolescence" avec 16 jeunes du Conservatoire de danse de Blagnac et de la Maison de quartier de d'Odyssud aboutissant à des représentations au Petit Théâtre St Exupère d'Odyssud ainsi que sur le grand plateau d'Odyssud. > Saison 2016-2017 : Thématique "Le rapport à l'autre" avec une classe de 4ème du Collège Mermoz de Blagnac. Une restitution de l’atelier a eu lieu à l'occasion du festival Léz'arts en Scène de la Ville de Blagnac. > Saison 2017-2018 : Thématique de "L'héritage familial" avec 2 classes de CM2 de l'École Jean Moulin de Blagnac donnant lieu à une restitution au Petit Théâtre St Exupère d'Odyssud à Blagnac. |
A corps et à flow c’est une aventure sur le chemin de l’adolescence, c’est une expérience proposé à 16 jeunes filles de 15 à 18 ans, c’est un métissage de danse et de théâtre.
C’est 10 rendez-vous de 2h, 2 week-ends et 1 semaine de création.
C’est une chorégraphe professeur de danse contemporaine, Stéphanie Bonnetot et une metteure en scène, Lou Broquin.
C’est une collecte de témoignages sur l’adolescence, menée par Colette la collecteuse.
C’est des répétitions, des efforts, des rires, des questionnements, des mouvements, des mots, un groupe, des émotions, des corps, des échanges, des tentatives, des échecs, de l’émotion, de l’investissement, de la solidarité, des doutes, de la confiance, du jeu, de la danse, des histoires, de l’imaginaire, du souvenir, des sensations …
Et puis c’est la naissance d’un spectacle où chacune raconte une histoire, peut-être un peu son histoire, avec son corps et ses émotions. Chacune vient témoigner poétiquement de ce moment si particulier que l’on appelle l’adolescence, instant de transition entre la rive de l’enfance et la berge de l’âge adulte.
Notre volonté était de donné la possibilité à des adolescentes d’exprimer leur créativité au sein d’un groupe de recherche.
Certaines viennent du conservatoire d’autres n’avaient jamais fait de danse, et pourtant tout au long du projet nous avons travaillé avec elles comme nous l’aurions fait avec des professionnelles, avec exigence, nous leur avons demandé de créer leur partition et de prendre part à la mise en scène. Chacune s’est investie et a donné au-delà de nos espérances.
Nous les remercions pour le travail immense qu’elles ont fourni, pour leur confiance et pour avoir osé prendre part à ce projet avec pour seul bagage leur humanité.
C’est 10 rendez-vous de 2h, 2 week-ends et 1 semaine de création.
C’est une chorégraphe professeur de danse contemporaine, Stéphanie Bonnetot et une metteure en scène, Lou Broquin.
C’est une collecte de témoignages sur l’adolescence, menée par Colette la collecteuse.
C’est des répétitions, des efforts, des rires, des questionnements, des mouvements, des mots, un groupe, des émotions, des corps, des échanges, des tentatives, des échecs, de l’émotion, de l’investissement, de la solidarité, des doutes, de la confiance, du jeu, de la danse, des histoires, de l’imaginaire, du souvenir, des sensations …
Et puis c’est la naissance d’un spectacle où chacune raconte une histoire, peut-être un peu son histoire, avec son corps et ses émotions. Chacune vient témoigner poétiquement de ce moment si particulier que l’on appelle l’adolescence, instant de transition entre la rive de l’enfance et la berge de l’âge adulte.
Notre volonté était de donné la possibilité à des adolescentes d’exprimer leur créativité au sein d’un groupe de recherche.
Certaines viennent du conservatoire d’autres n’avaient jamais fait de danse, et pourtant tout au long du projet nous avons travaillé avec elles comme nous l’aurions fait avec des professionnelles, avec exigence, nous leur avons demandé de créer leur partition et de prendre part à la mise en scène. Chacune s’est investie et a donné au-delà de nos espérances.
Nous les remercions pour le travail immense qu’elles ont fourni, pour leur confiance et pour avoir osé prendre part à ce projet avec pour seul bagage leur humanité.